Multicorps est bien plus qu'une simple école de danse, c'est un espace dédié à l'expression artistique et à la créativité. Nous offrons un environnement dynamique où les passionnés de danse se rassemblent, s'inspirent et grandissent ensemble.
ACTUALITÉ EN BREF
Le Centre Chorégraphique Multicorps lance le projet innovant Trait d’Union pour dynamiser la danse et former la jeunesse passionnée du Bénin.
Cette nouvelle formation vise à offrir une expérience académique de deux ans aux jeunes talentueux du Bénin, les préparant ainsi à une carrière professionnelle dans le domaine de la danse.
Le programme de formation complet de deux ans offre une opportunité unique à quinze jeunes danseurs béninois d’explorer les techniques de danse classique et moderne jazz, enrichies par leur héritage culturel.
Il intègre également des éléments de danses traditionnelles béninoises et d’expressions urbaines africaines pour une expérience holistique.
Le projet Trait d’Union privilégie une approche équilibrée, alliant harmonieusement l’aspect académique et artistique de la formation.
Ainsi, les participants seront plongés dans un environnement d’apprentissage dynamique, où se mêlent cours théoriques approfondis et pratique intensive sur le terrain.
Cela leur permettra de développer non seulement leurs compétences techniques, mais aussi leur créativité, leur expressivité et leur sens artistique.
Fortifiés par cette formation complète et guidés par l’encadrement personnalisé des formateurs, les jeunes danseurs diplômés de Trait d’Union seront parfaitement préparés à affronter les défis de l’industrie de la danse, aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale.
Engagé dans cette mission, le Centre Chorégraphique Multicorps s’implique activement en offrant à ces talents émergents des opportunités de performance, de collaboration et d’épanouissement professionnel
Nourou Deen Eniola
Ézéchiel Adandé
Cecilia Slongo
Wilma-Emilia Kuosa
Orphée G. Ahéhéhinnou
Saran Kaba
Didier Djélèhoundé
Cecilia Slongo
Daouda Keita
Carmelita Siwa
Stéphanie Tooman
Roger Nydegger
